Réveil sous terre

Hazaëlle était paralysée, ses jambes tremblaient, elle ne comprenait pas...elle avait dû mal entendre, c'etait impossible.

Elle prit quelques longues secondes à s'en convaincre. Lorsque rouvrant les yeux , elle remobilisa tous ses sens, la surprise et l'incompréension qu'exprimaient les visages de ses camarades ainsi que le déluge de pensée que même éveilée elle sentait qu'ils émmetaient lui confirmèrent ce qu'elle avait cru entendre.

"La cause c'est VOUS"

Les paroles d'Unionis résonaient dans sa tête. Cette maladie, elle ne la connaissait pas comme tous les habitants de ce monde, mais plus que n'importe qui, puisque sa mère en était morte. Son calvaire avait duré 3 ans. Trois ans de fièvre de délire d'agonie...Elle voyageait en permanence et avait finit par confondre le monde des esprits et le monde physique. La femme autrefois puissante et d'une beauté presque surhumaine ne pouvait rien manger. Ils la voyait mourir de faim peu a peu et ne pouvaient rien faire a part l'empecher de rêver. A force de pratiquer son don, il avait finit par le dévorer de l'intérieur.

Hazaëlle fixait Unionis le regard vide. Elle aurait tué sa propre mère? Elle ne pouvait pas y croire pourtant c'était Unionis qui l'affirmait. Unionis, une quasi déesse. Elle ne pouvait pas mentir.

Ses yeux fixé dans les siens, elle attendait avidemant la suite de ses révélations.
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et c'est avidement que j'attend la suite

EDIT: et moi j'attend toujours que ton orthographe s'améliore...

A l'intérieur de lui-même, Soren avait mal. Il sentait comme un vide se creuser en lui, un vide qui n'allait pas tarder à l'engloutir... Et il n'y opposerait aucune résistance car il n'avait plus assez d'énergie, ne serait-ce pour crier.

Unionis s'approcha encore plus près et lui glissa quelques paroles presques inaudibles mais dont il comprit parfaitement les paroles, mais surtout leur sens: elle lui lançait un nouvel avertissement, encore plus à craindre que les précédents.

Unionis lui enleva enfin ses chaînes et il s'effondra à genoux sur le sol glacial de l'immense pièce où les aveux avaient lieux. Bien qu'il soit nettement affaiblit, il écouta le discour d'une oreille attentive.

"Vous savez tous qu'une étrange maladie se répend sur Terre? Les scientifiques en ont trouvés la cause...La cause, c'est vous!"déclara Unionis d'une voix puissante.

Soren resta quelques instant sans vraiment comprendre ce qui se passait. Enfin, il demanda:
Tu parles du Deyka, la maladie de l'Ombre ?

Unionis n'eut pas besoin de répondre car tout le monde savait que la réponse à cette question était "oui".
Deyka signifiait mourir dans l'Ancien language. Comme chaque victime de ce maux ne survivait pas à celui-ci,les scientifiques l'avaient baptiser ainsi. Soren pensait que les chercheurs n'en avait toujours pas découvert la cause, mais Unionis affirmait le contraire. Que croire ? Il ne savait plus, tellement ses idées étaient confuses... D'ailleurs, depuis quand étaient-ils tous enfermé ici ? Une semaine ? Deux ? Tout devenait flou dans sa tête.

Il pensa alors au Temple qui serait ravi d'avoir donné tant de morts à son Dieu. Quant à Geyse, il déplorait sûrement le nombre élevé de victime car, même s'il avait été un des assassins du Temple, il ne supportait pas l'idée du meurtre d'innocents.

Le Deyka avait touché de nombreuses personnes, et ce nombre augmentait de jour en jour. Les malades erraient alors dans leur folie et subbissaient alors une lente et terrible agonie.
Soren se demanda alors comment un groupe d'aussi peu de personnes pouvait faire tant de dégâts, sans même le savoir ni le vouloir. Du moins, il pensait ne pas le vouloir....

Soren commençait à s'impatienter. Unionis ne leur avouait pas toute la vérité et Alecto reprenait son air supérieur habituel ! Il s'écria alors:
Essaye de faire court ! Tes longs discours ne servent à rien, tu ferais mieux d'agir. Et puis, honnêtement, je pense que tu n'es pas très proche de la vérité... bien que certaines choses soient vraies, malheuresement. A t'entendre parler on croierait que tu te prends pour une déesse ! Je te rapelle que ce n'est pas le cas !

Durant un court instant, tout le monde se tut, sans qu'aucune parole ne troubla le silence. Chaque personne observait les autres, réfléchissant à tout cela. Enfin, Alecto conclut:
-Donc si mon raisonnement est correct, où est-ce que vous comptez nous exiler?

Soudainement, Hazaëlle se précipita sur Alecto, le visage déformé par une expression de haine immense, un dédain que nul ne peut apaiser. Soren l'avait remarqué mais il ne pensait pas qu'elle irait aussi loin, elle d'ordinaire si calme... enfin il ne la connaissait que depuis quelques jours et ne connaissait pas chaque parcelle de son esprit.

Hazaëlle et Alecto roulèrent au sol et la voyante essaya avec toutes ses forces d'étrangler Alecto, sans succès. Soren, lui, ne fit que regarder la scène, impuissant. Il ne voyait absolument pas comment les empêcher de s'entretuer et, de toute façon, il était épuisé et n'aurait sûrement pas la force de lutter. De plus, la démoniste n'avait fait aucun geste défensif. Soren en déduisit qu'elle savait ce qu'elle faisait et détourna un instant le regard afin d'observer les autres spectatrices et particulièrement Unionis. Mias celle-ci gardait un sang-froid exaspérant et une neutralité absolue.

Hzaëlle hurlait des injures à la changeforme mais celle-ci restait de marbre, se contentant simplement de la regarder.Au bout d'un certain temps, l'attaquante sembla revenir à la raison et étonné déclara:

-Mais.... Mais....

-Mais quoi? Tu pensais tuer une légende comme ça?, répliqua Alecto, Je ne suis pas immortelle mais ça ce n'est pas la bonne manière pour me tuer. Maintenant lâche-moi s'il te plaît.

Unionis posa son regard vert sur toutes les personnes rassemblées. Le discours dAlecto avait fait impression, et beaucoup posaient un regard haineux sur la jeune femme:

-Qu'est-ce que vous comptez faire de nous!
-Vous mentez! Tous ce que vous voulez, c'est nous tuer!
-Que les hommes meurent, c'est leur problème, vu leurs guerres! POurquoi nous impliquer?
-SILENCE!

Plus une bruit. Plus un souffle. Une attente.
Unionis repoussa doucement les longues mêches brunes qui sortaient de sa capuche à l'intérieur de cetlle-ci et survola l'assemblée du regard:

-C'est donc cela que vous appelez être civilisé? Ne même pas laisser le temps aux gens de finir leurs phrases?

La foule ne frémit pas. Elle attendait. Une réponse, qui tardait à venir.

-Pour l'endroitoù nous comptons vous emmener, j'espère que vous comprendrez si je ne vous is pas où. uqestion de sécurité élémentaire.
Pour le reste...
Il faudrait tout vous raconter depuis le début. Et commencer par moi. Par pourquoi je suis née.


Et Unionis s'assit doucement, et prit la parole, de sa voix calme et dépourvue d'émotion.

-On raconte que je suis née en même temps que les Unions. C'est sans doute vrai, mais cela ne concerne que moi. Mais quelqu'un s'est-il déja demandé pouquoi je suis apparue?
Parceque je savais ce qui allait arriver.
Et quee voulais sauver les créatures magiques. Toutes. Sans exceptions.
Mais pour cela, j'allais devoir m'infiltrer au coeur du pouvoir.

Elle s'arrêta quelques secondes et balaya la foule du regard:

- La maladie de Dreyka. Voila le coeur du problème. Personne ne sait comment elle est apparue. Seuls les grands irigents connaîssent la vérité.
Un jour... Des scientifiques ont voulu trouver l'origine de la magie. Ils la connaissaient, car la magie est reconnue tout bas par le monde scientifique. J'en suis le parfait exemple.
Il ont cherché, encore et toujours, et ont fini par découvrir une étrange cellule au coeur du cerveau des magiciens. Une étrange cellule, bourrée d'une énergie incommensurable.
Ils ont cherché à l'apprivoiser, pour rendre la magie accesible à tous.
Mais...C'était sans compter la magie. La magie est inée, et personne ne peut l'acquérir s'il ne naît pas avec.
Toute personne consommant ces " donneurs de magie", tombait gravement malde, et transmettait la malie aux personnes qui le cotoyaient, qui le transmettaient aux autres, et ainsi de suites. Le monde entier a été contaminé.
Sauf la plupart des créatures magiques. Certaines ont tout de même succombé après une vie entière plongée dans les mondes parralèles, car leurs cellules s'étaient transformées.
Mais je suis la seule à avoir compris la dernière partie du proccessus. Et tous étaient persuadés que les créatures magiques en étaient la cause.

Elle s'arrêta d'un coup. Autant être interrompue maintanant par son auditoire, elle pourrait ensuite continuer en paix.

Dans la foule, un homme sombre et mystérieux écoutait le récit d'Unionis. Il avait suivi tous les épisodes de cette histoire tragique et avait deviné que ses ''compagnons'' lui ressemblait. Ils avaient des pouvoirs, tout comme lui qui était voyant.

Black, nerveux, jouait avec une de ses mèches brunes. Lorsque Unionis avait prononcé le nom ''deyka'', Black avait eut un flash car un de ses amis d'enfance était mort d'une maladie qui touchait beaucoup de personnes. Black savait que c'était la deyka, cette maladie horrible et même épouvantable. Son oeil avait laissé couler une larme salé.
Il avait minutieusement observé chacun de ses camarades : Soren, voleur professionnel et sabreur. Alecto, jeune fille démoniste et lugubre. Licia, timide qui ne parlait guère. Et Hazaëlle.
Quand Black avait croisé son regard, il avait rougi ... Il aimait déjà cette voyante douce mais bagareuse.
Il continua d'observer ses compagnons et ne se fit pas remarquer !!!

Quelque chose avait pénétré dans son corps. Il ne savait ni quand, ni où. Il savait seulement que cela le menait à sa perte, lentement, s'insinuant dans chacun de ses membres, chaque parcelle et chaque recoin de son corps épuisé. Epuisé après avoir combattut bien sûr, mais aussi d'avoir livré son enveloppe char nelle à Bloo. Bloo... Il le voulait. Sans ses lames, il se sentait vide comme si un gouffre profond l'envahissait; le gouffre de ses souvenirs. Ceux- ci ne tardèrent pas à affluer, laissant le malheureux s'écroulé sur le sol sous le regard étonné de ses compagnons.


________________________________// Flash Back//_______________________________

Il releva la tête. Pas un bruit. Juste le son des flammes, souvenir de l'acte qu'il venait de commettre.
"j ai tué, tué", se répéta-t-il intérieurement. Son épaule saignait, l'odeur du sang envahissait l'atmosphère. En dépit du noir profond, petit à petit, ses yeux s'accoutumaient. "Un meurtre..."
Il essaya de s'appuya contre le mur, le plus proche qu'il trouva. Les minutes défilèrent inlassablement, tandis que chaque cris de sa victime lui revenait à l'esprit.
Maintenant, il voyait mieux, presque distinctement malgré la nuit. Les idées lui revenaient avec difficulté, lentement. Comme lorsqu'on sort d'un sommeil artificiel, pour reprendre pied prudemment dans la vie. Le sang âcre continuait de couler. Son sang.
Soren entendit alors un bruit, plus lointain, dans le sous-bois. Il se releva, ensanglanté, perçut une odeur qu'il connaissait; une odeur sauvage, savoureuse... En deux bonds rapides, il fut sur le chemin et plongea vers la forêt profonde, d'où venait l'écho de sa future proie.

Il courait à travers les halliers. Il 'avait pas besoun de ralentir pour suivre l'odeur du sang sur les brisées du fugitif. Le témoin lui avait échappé mais il était blessé, il perdait beaucoup de liquide vital.
Il voulait tuer.
Il voulait plonger ses lames dans cette chair, les traces du fugitifs mettaient ses nerfs à vif. Il voulait lui sauter dessus, lui briser le dos, et sentir la vie sortir de cet être, avant de le déchirer.
Tuer, tuer le témoin.
Les branche giflaient son visage, les fourrés d'épineux l'écorchaient, il fermait les yeux pour les protéger. Il allait vite, malgré la douleur de ses membres, malgré ses articulations et son épaule blessée.
Courir. Savourer, se délecter des derniers instant de sa proie, de sa peur. Puis tuer.
Il entendit le bruit d'une explosion, loin derrière lui. Le feu avait dut prendre emprise tout le village. Les habitants avaient-ils pu s'en sortir ? Il neut qu'une brève penser pour eux, une pensée qu'il aurait voulue moins froide.
Il n'y songea plus. Seul une pensée gardait le dessus: le fugitif - le trouver, le tuer.

[...]
Maintenant tout était fini.
Le témoin était mort, après avoir endurer d' innombrables coups de lames noires, les Bloodie Blade.
Du sang coulait en abondance sur la victime, sa blessure aggravée dans sa fuite. Soren avait abattu l'homme, déjà à moitié mort d'épuisement et de terreur, de résignation. Le tueur avait plonger ses lames damnées dans la chair palpitante et savoureuse de sa proie.
Soudain il releva la tête. Qu'était-il en train de faire ? Que lui arrivait-il ?
Il considéra ses lames, engagées dans la carcasse. Des tâches de sang couvraient son corps. Ses membres sanglant, puissants, taillés pour la mise à mort, comme cela avait toujours été le cas pour ceux de son espèce.
Son espèce...
Il appartenait à une espèce qu'ils connaissaient parfaitement, Geyse et lui. Mais son cerveau semblait paralysé, incapable de retrouver le mot. Il faudrait qu'il demande à Geyse, son mentor. Mais Geyse était...
Geyse. Il était mort, il se souvenait, maintenant.
Une étrange nausée le retourna. Le sang de sa dernière proie poissait sur son visage. Il ne ressentait plus aucune envie de tuer, simplement un dégoût profond. Que faisait-il là, au fond de la forêt, à tuer un témoin blessé, alors que celui qui l'avait toujours aidé, toujours soutenu, était mort ?
L'instant d'après, la question lui paru stupide, la réponse évidente - il chassait, tuait. C'était ce que lui commendait ses lames démoniaques, sauvages: elles avaient faim. Le motif le plus simple, le plus pur, le plus ancien qu'il commaisse. Faim. Chasser et tuer, c'était le rôle qui incombait depuis toujours à ceux de son espèce, l'évidence qui coulait dans ses veines. De nouveau, la question tourna:
"Mon rôle, celui de mon espèce... Mais qu'elle espèce ? Qui suis-je ? Ou plutôt, que suis-je ? Regarde Geyse, je tue chaque être que je rencontre... Ces lames, ce tatouage noir, ces ailes, tu les reconnaîtrais, toi, si tu étais là; tu me dirais mon nom."
"Où es-tu, Geyse ? J'ai besoin que tu m'aides..."
"Quel est mon nom, celui de quelle espèce ?"
Il se redressa. Il vyait ses mains, couvertes de sang luisant sous la lune, ronde, telle une disque parfait, en ce soir de pleine lune. Ses lames, noires, le prolongement des ses bras, capables d'abattre quiconque se dresserait devant elles. Qu'arrivait-il ? Qui était-il ? "Mon nom est Soren, Geyse. Je suis ton disciple. Mon maître Geyse.
Il retomba lourdement.
"Mon cerveau... Pourquoi mon cerveau refuse-t-il de me fournir le nom de mon espèce ? Que m'est-il arrivé, Geyse ? Pourquoi n'es-tu plus à mes côtés ? Tu étais mon précepteur, mon guide dans cette vie, Geyse, et maintenant, sans toi, je ne sais plus vraiment qui je suis."
Il sut ce qu'il devait faire.
Il n'avait qu'un salut. Courir dans la forêt. Fuir cette chose qui le possédait, s'emparait de lui. Trouver la rivière, là où elle coule en torrent. Là où il était venu autrefois pêcher. En compagnie de Geyse. À une certaine époque de l'année, les poissons remontaient à la surface. Frayaient-ils cette nuit ? Il lui sembla sentir leur odeur, cette pensée l'affolait, la chair des poissons...
Rêvait-il ? Observer, Chasser, tuer. Était-ce simplement le fait qu'il savait qu'il devait trouver la rivière, ou flairait-il vraiement cette odeur ?
Il ne se rapelait plus de son espèce, de son appartenance.
"Qu'est-ce qu'il me reste, Geyse ?" Ses armes, qui ne le tromperaient jamais. Du moins, pas maintenant.
Il redressa sa tête, chercha à s'orienter. Il fouilla les effluves de l'obscurité, dans la nuit épaisse. Quittant le fourré, abandonnant la carcasse de se dernière victime aux charognards de la forêt, il replongea sous la futaie.

Alecto écouta le discours de Unionis avec attention, curieuse de savoir qui était vraiment cette étrange personne, quand celle-ci s'arrêta, la changeforme prit la parole.

-Donc si j'ai bien compris, pour tous les scientifiques de ce monde, la magie, c'est juste une question d'anatomie? Et c'est pour ça que la maladie de Dreyka c'est déclenché? Parce que des apprentis sorciers ont sous-estimé la puissance de la nature? Et après ça vous voulez encore les sauver???!!! dit-elle en se tournant vers les autres.

Ils la regardèrent d'un air mauvais mais la démoniste n'y fit pas attention et continua.

-C'est de leur faute si tous c'est déclenché mais c'est nous qu'on accuse et qu'on exil. Et vous qui êtes les victimes, vous continuez de les défendre?!! J'y crois pas quelle belle mentalité!
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Navré de ne pas faire un post très long mais je manque d'inspirations et bon.... Comme personne n'essaient de faire beaucoup avancer l'histoire...... C'est déjà mieux que rien.

Ses souvenirs le hantaient. Soren voulait que cela cesse mais il était impuissant. Seules les lames damnées pourraient empêcher ses souvenirs de l'engloutir, de le submergé.


__________________________// suite du Flash Back//________________________________

La cascade, indifférente à la nuit comme à sa présence, susurrait une rumeur toujours égale. Il avait su trouver la rivière, il ne savait plus pourquoi il la cherchait. Mais il aimait le bruit de la cascade.
Il était déjà venu pêcher ici avec Geyse. Juste au-dessous de la cataracte, là où les poissons troublés par les tourbillons d'eau viennent chercher leur oxygène et reprennent leur souffle sous les cailloux du lit.
Soren s'allongea en aval de la chute, qu’ une grande pierre plate, presque au niveau où l'eau affleurait. Cette nuit, il n'y avait pas un poisson, pas même une truite, rien. Ce n'était pas la saison. Il sentait l'air léger de juillet, une brise légère et fraîche caressant son visage en de douces caresses. La nuit était tiède malgré les premiers contreforts montagneux; la pierre sur laquelle il s'était étendu avait conservé la chaleur du soleil qu'elle avait reçue durant la journée. Pourquoi devait-il venir à la rivière ? Pourquoi son instinct le lui avait-il dit ?
La lune était montée pour sa course nocturne, dans un ciel piqueté de millier d'étoile, sous le drap laiteux de la voie lactée. L'air était d'une pureté exceptionnelle, le bouquet de conifère, la résine, celui des feuilles, des fruits, l'enivrèrent. Adossé de tout son long sur le rocher, il observait le ciel comme il ne le ferait pas durant la longue et douloureuse période qui suivrait.
Ses origines. Son espèce. Il sut soudain pourquoi son cerveau lui avait commandé de chercher la rivière, le bruit de la cascade.
Il se retourna à moitié, se laissa rouler sur le ventre et se remit debout. Il considéra quelques secondes les Bloodie Blade, toujours à ses côtés.
Ce n'étaient pas des armes, mais des meurtrières. Conçues pour happer, pour torture, pour abattre.
Malgré ses contusions, ses muscles courbatus et l'impression que tous ses os étaient broyés dans un étau, il se sentait puissant, sûr de sa force. Il avait abattu le dernier survivant de son massacre, la viande sanglante lui avait fait du bien. Traquer, chasser, tuer. Pourquoi voulait-il connaître son appartenance ? Pourquoi avait-il pensé aux Bloodie Blades ? Ses idées lui échappaient, sitôt formulées dans son crâne - ou quelqu'un, quelque chose les y installait-il, pour les retirer à l'instant d'après ? Quelqu'un qu'il connaissait bien. Peut-être même un autre lui-même.

Il fit quelques pas avec appréhension, comme s'il allait tomber. Il alla jusqu'au bord de la roche, au plus loin de la cascade, là où l'eau cessait d'être troublée par les remous et retrouvait une surface sombre et lisse dans la nuit. Il se pencha au-dessus du miroir d'eau.
Il se vit, lui, jeune homme de 17ans, aux cheveux noirs comme les corbeaux, à la peau blanche comme les colombes. Et des yeux qui n'était pas les siens, des yeux injectés de sang au regard assassin, sauvage. Et pourtant, c'était ses yeux, son regard.
Il se défit de ses vêtements, lentement, comme si chaque mouvement lui était douloureux. Puis il entra dans l'eau glacé, un frisson lui parcourant le corps. Chacun de ses membres se détendis et il se débarrassa du sang qui n'était pas le sien, comme s'il voulait se débarrasser de ses actes, les oublier.
Il se regarda de nouveau dans le miroir d'eau, redevenu calme. Ses yeux étaient redevenu noirs, profonds. Et une marque, une marque rouge qu'il n'avait jamais possédée était apparue sur son front. C'est alors qu'il sut.
"Le Temple... Guilde de tueurs la plus réputées de toutes pour ses innombrables massacres.
"Ceux du Temple... Je suis l'un d'eux."
Il sentit quelque chose s'ouvrir dans sa tête, comme la brume se déchire. Toujours penché sur son reflet, il revit en pensée le visage de Geyse. Son mentor. Son guide. Un homme d'une trentaine d'année. Ancien templier s'étant rebellé. Son sauveur. Il comprit ce qui le tourmentait depuis plus d'une heure. Il avait fuit le Temple durant de nombreuses années en compagnie de Geyse. Et voilà qu'il l'avait tué et qu'il était désormais du côté de l'ombre. Il ne servirait à rien de les fuir une fois de plus, Soren savait que cela ne servirait à rien. De plus, il n'en avait plus la force.
Son crâne lui faisait mal.
Il sortit de l'eau. Soudain, la douleur qui semblait bloquer son larynx, qui l'empêchait de prononcé ne serait-ce qu'un mot, disparut. Il poussa alors le cri, resté si longtemps dans sa gorge, un long cri dans la nuit. Accompagné de larmes.


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Môa non plus je ne fais pas beaucoup avancé le rpg mais je suis inspiré pour le passé de Soren en ce moment ^^

Bon... Je poste en espérant avoir une réponse... qui aidera le rp, en plus j'aimerais bien qu'on arrive nfin sur Vitalys.
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Alecto regarda les gens autour d'elle, Soren semblait plonger dans ses pensés et n'avait visiblement rien écouté de ce qu'elle venait de dire, en revanche personne ne semblait non plus s'intéressait à lui! Une larme unique semblait sur le point de couler sur sa joue et son regard trahissait une souffrance trop longtemps cachée et repoussée dans un coin de son esprit, pourtant on aurait dit que cette douleur remplissait aujourd'hui l'âme du Voleur, reprenant ainsi ses droits sur lui... Unionis était également plongée dans ses pensés, elle aussi n'avait rien écouté, elle avait l'air de réfléchir à la manière dont elle allait continuer son histoire car visiblement, ce n'était pas fini. Hazaëlle, contrairement aux autres, avait tout entendu, chaque mot que la changeforme avait dit avaient été une véritable claque pour elle, elle se retenait du mieux qu'elle pouvait pour éviter de se jeter dessus une seconde fois, pourtant l'envie la démanger. Jeena ne s'intéressait tout simplement pas à cette histoire, bien sur cela l'étonnait, mais elle préférait faire des maths, elle était donc partie s'asseoir dans un coin de la salle, avait sorti une craie blanche et commença à écrire des choses bien trop compliqué pour une enfant de son âge. Licia avait écouté avec intention le discour d'Unionis ainsi que celui d'Alecto, chacun avait une part de vérité mais elle se demandait toujours comment elle devait réagir face à de telles révélations, elle avait donc choisit de ne rien dire pour le moment.

Toujours en observant les autres et en attendant des réponses à toutes les questions qu'elle se posait, la démoniste remarqua une ombre près d'un mur qu'elle n'avait jamais vu avant, cette personne semblait les observer.... Peut-être même, les étudier, ce n'était pas acceptable, d'autant plus qu'on en apprend plus sur les gens lorsqu'ils sont face à nous! Peut-être que le temps de révéler l'une de ses dernière carte était-il venu... Discrètement, elle commença à invoquer un sbire venu de l'une des plus basse sphère des Abysses. Cette opération lui prit plusieurs minutes mais personne ne la remarqua... Sauf peut-être lui mais ce n'était pas sûr. Puis brusquement un démon mineur apparut devant cet inconnu, l'attrapa par les épaules et le jeta au centre de la pièce de manière à ce que tout le monde puisse voir son visage.

-Bienvenue parmi nous, et si tu te présentais maintenant?

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Maintenant j'attend une réponse au plus vite de Black ou de qui que ce soit d'autre parce que sinon je vous promet que je vais commencé à contrôler vos persos(à mon avantage)

-Bienvenue parmi nous, et si tu te présentais maintenant?

Black, surpris par cette action si brutale, sentit ses épaules se déchirer. Il regarda celles-ci discrètement et vit qu'elles saignaient abondamment. Il voulut pousser un cri de douleur mais rien ne put sortir de sa bouche tant il se sentait observer. Il essaya de se relever mais ne réussit pas.
'' Tan pis", se dit-il; et il resta allonger par terre, sans rien dire, au moins dix bonnes minutes.

Il se souvint de la question posée par cette forme étrange qu'il ne réussissait pas à voir tant ses yeux étaient gorgés d'eau salées. Il ouvrit les yeux et se sentit vraiment très observé par les personnes qui l'entourait. Personne n'oser s'approcher de lui. Pourtant, il n'était pas méchant et plutôt beau garçon !!!

Il tenta encore de se relever mais un claquage se fit entendre dans son épaule. Certaines personnes poussèrent un soupir de désespoir face à ce malheureux garçon.
Black déclara :

- Je me nomme Black et je suis voy....
Il ne parvint pas à terminer et s'ombra dans un sommeil profond...

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Désolé pour le longueur du texte mais je n'ai pas beaucoup d'inspiration en ce moment !!!
Mais j'ai quand meme posté ! C'est cela qui compte !!!

Edit Alecto> Désolé Black...Mais le rouge, c'est moi!^^

Soren cligna des yeux: la faible lumière émise de la pièce l'éblouissait. Il avait l'esprit embrûmé, ses pensées étaient floues.

Ce qu'il venait de voir n'était autre que son passé, son lamentable passé qu'il avait pourtant enfoui au plus profond de lui. Mais il était réaparru, suite à la privation du "mur d'isolation" que Bloo lui fournissait. Pourquoi Unionis lui avait-elle enlevés ses lames ? Avait-elle, ne serait-ce que conscience de cet acte ? Non, sûrement pas. Elle disais le connaître, il n'en avait pas l'impression. Pour lui, elle n'était qu'une étrangère aux mystérieux pouvoir qui l'avait enfermé contre son gré avec des filles inpuissantes.
Son passé... ou plutot, un moment précis de son passé, sans doute le plus horrible souvenirs qu'il aurait de toute sa misérable existence; l'instant où il avait tué Geyse, son mentor, l'être qui lui avait été le plus cher et qui le resterait sans doute jamais. Car qui voudrait aider un tueur, un assassin qui a commis d'atroces crimes ? Peut-être une minable petite amoureuse... et encore, ce serait une chance si cela devait arriver !!

Il ouvrit les yeux. Il en avait marre de ses pensées obscures qui ne cessaient de le tourmenter. Il devait récupérer ses armes, par n'importe quel moyen; quoi de plus natuel pour un voleur !! Mais avant qu'il n'ai pu réagir, un inconnu arriva à ses pieds (c'est un mot bien faible, je devrait plutot dire "s'écrasa devant lui" !! x) ), envoyé par un démon mineur. Alecto lui demanda alors:
-Bienvenue parmi nous, et si tu te présentais maintenant?
- Je me nomme Black et je suis voy....
L'inconnu en question venait de s'évanouir. A cause d'un démon mineur. Il devait être bien faible, il n'y avait rien à craindre de lui ! Mais, ceux auquels l'on ne fait pas attention peuvent souvent s'avérer dangereux, il ne devait pas baisser sa garde. Il s'approcha du corps évanoui de Black tout en respectant une distance appropriée et l'oserva un moment, un air presque écoeurer devant la faiblesse que Black venait de montrer. Puis, il demanda à Unionis, comme si cela n'avait que peu d'intérêt:
On en fait quoi ?

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mdr, "on en fait quoi" !!!!! Dsl, j'avais envi de m'amuser un peu :p

-Je me nomme Black et je suis voy...

Voilà les seuls mots qui purent être dit par cet inconnu avant qu'il s'évanouisse à cause du démon mineur qui l'avait jeté au pied de Soren. Quelle pitié... Cette personne était décidément bien faible, en apparence du moins, la changeforme avait appris(à ses risques et périls) qu'il fallait se méfier des apparences, après tout, cet homme avait réussi à se cacher depuis le début, et personne ne l'avait remarqué, peut-être que sa puissance ne reposait pas sur des atouts physiques, voilà tout. Enfin... Même un magicien, ou bien un voyant, avait besoin d'être assez résistant pour utiliser son art, la force des muscles n'était pas réservée au guerrier, donc visiblement peu importe sa caste, l'inconnu était faible. Ou bien était-ce une ruse mais... Alecto en doutait. Apparement le Voleur avait du se faire la même réflexion vu ce qu'il prononça peu après à l'attention d'Unionis.

-On en fait quoi?

Une bonne question, après tout, peut-être s'était-il vraiment blessé et cela, pas forcément à cause du démon... N'importe quoi pouvait arriver dans un endroit comme celui-ci...

-On essaie de voir si il s'est vraiment blessé ou si c'est une ruse... Ça pourrait être un début...Proposa-t-elle.

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Encore un post très court mais franchement.... J'ai un très grand manque d'inspiration!!!

Apès avoir découvert que Back était légèrement assomé, pour quelques heures maximum, et l'avoir déposé sur un banc métallique, semblable à tous ceux de cette prison, plus une parole ne fut émise. Tous se turent, se remémorant chaque parole prononcée depuis le début des révélations, réfléchissant à leur avenir proches où à leur souvenirs lointains.

Soren, lui, ne cessait de repenser à la prise de contrôle de Bloo. Bloo... cet être si mystérieux qui logeait dans de puissantes lames mortelles et le plongeait dans les tréfonds de son enveloppe charnelle. C'était comme lutter dans une eau glaciale alors que l'on sait que se débattre ne sert à rien,si ce n'est nous engloutir. Enfin, c'est la comparaison qui s'y rapproche le plus car la sensation épprouvée lorsque l'on est inspirée dans les abîmes de son âme est impossible à décrire; quand on chante dans une taverne, avec les chopes de bierres qui battent la mesure du refrain sur les tables, la guerre ne paraît pas si terrible. On peut imaginer la courageuse confrontation que menèrent les soldats pour leur nation respective. Naturellement, lortsque l'on boit et l'on chante, on ne voit pas le sang, on se sent pas l'odeur de chair brûlée, on n'entend pas les cris. Mais cela se comprend: avez-vous déjà essayé de trouver une rime à "enfant écartelé"? Un jour, quelqu'un a proposer "au crâne martelé", mais le vers sonnait toujours aussi faux, aussi amère. Nul poème ne saurait raconter qui enfonce une boulette de poison dans la bouvhe de son enfant pour le faire privilégier d'une mort rapide, sans souffrance; personne ne saurait chanter les cris des enfants saisis de crampes sous l'effet du poison violent, ni les femmes violées durant leur longue agonie; aucune poésie, aucune mélodie ne suipporterait de parler des archers dont les flêches les mieux ajustées tuent ceux de la famille rivale. A travers les flammes d'une maison en feu, un garçon d'une dizaine d'années offrait sa gorge au couteau que tenait sa mère; il avait dans les bras le cadavre de sa petite soeur, étranglée car un frère aimant ne pouvait l'abandonner ni aux pillards, ni aux flammes voraces. Puis, la mère prenant les coprs de ses enfant s'enfonça dans le brasier avec eux. Peut-on comparer ses actes à d'autres ? Non.
Ce sont là des scènes que l'ont ne peut exprimer correctement. Ce sont des choses que l'on ne peut comparer à aucune autre.

Soren releva les yeux, l'esprit embrumé par de sombres questions. Il sentit le reagrd de glace d'Alecto, toujours aux aguets, et eut un demi-sourir; peu importe qu'elle ne fasse confiance à personne; peu importe qu'elle espionne chacune des personne présente pour pouvoir ensuite mieux la tuer; Soren se fichait de tout, de la mort comme de la vie. "La mort est parfois une délivrance".

Soudain, il entendit une sorte de gémiseement, un bruit étouffé et regarda dans la direction par laquelle provenait le bruit. Black. Le nouveau. Il venait de se réveiller. Et il le regardait, comme s'il lisait en lui ses pensées les plus intimes, comme s'il voyait dans son âme chaque ombre du voleur.
oudain mal à l'aise, Soren ne put que s'écrier:
Quoi??? Qu'est ce que t'as à me fixer ainsi ?

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Je ne fais pas beaucoup avancer le rpg mais c'est mieux que rien, vu que ça stagne depuis un mois... --'

Silence. Pas un bruit. Plus personne ne parlait. Mais pourquoi cela ? Soren regarda tour à tour ses compagnons d'infortunes: tous fixaient quelque chose, derrière lui; même Black avait cessé de le fixer. La crainte se lisait dans leurs yeux. Il n'y a rien de plus normal que d'épprouver de la crainte dans cet endroit sombre, obscur et aux multiples mystères qui s'y pressaient. Seulement, l'angoisse naissante dans les yeux n'était pas une peur longue mais une peur nouvelle, une peur qui serre la gorge, noue l'estomac et empêche la moindre parole, le moindre gémissement.
Soren se retourna. Un peu. A peine.
"SILENCE !!!!!!!"
Unionis s'énervait, et cela n'avait rien de bon. Qu'allaient-ils devenir si leur guide les abandonnait, les laissant là, seuls, sans nourriture ni eau ? Ils allaient mourir, c'était certain.
"Pire que des gamins....." maugréa l'Union.
C'éait la fin. Oui, elle en avait assez d'eux e de leurs gamineries. Et elle n'était pas la seule. Un homme se tenait dans l'encadrure de la porte; Beau, musclé et au visage serein, une grande cape d'un bleu aussi profond que la nuit tombait de ses épaules avec élégance. Il s'avança, pausa une main sur l'épaule aux muscles tendus d'Unionis:
"Laisse, je vais m'en occuper, déclara-t-il d'un ton qui se voulait amical.
"Merci", souffla Unioni avant de s'écarter légèrement.
Et voilà. On leur assignait un nouveau guide. Un guide sûrement bien moins sympathique que le précédent, afin de servir de punition.
"Je crois qu'Unionis, ma collègue ici présente, vous en a assez dit....", reprit-il.
Première étape de la punition: faire naître la frustration, en supprimant ce qui était promis sous un prétexte quelconnque. C'est était donc fini: les révélations prenaient fin.
Eonnant, Alecto n'avait encore rien dit... jusque là. Elle se mit à gesticuler en tous sens, frustrée, s'indignant de la promesse non tenue d'Unionis. L'homme n'y prêta acne attention:
"Je n'ai pas de temps à perdre avec d'interminables discours dont vous ne serez jamais satisfaits. C'est pourquoi, je pense que le mieu seraient de vous emmener directement sur le lieu-dit."
Unionis ne dit mot. Ou elle éait d'accord avec ce que disait son collègue, ou elle ne souhaitait pas le contredire.
"Suivez-moi" finit-il.
Personne ne bougea: qui était-il pour décider ainsi de leur sort ?
"Du moins, ceu qui veulent survivre.... Vous pouvez très bien rester ici et péir de faim et de soif d'ici quelques heures ou, tout a plus, quelques jours, en tentant vainement de trouver une sortie."
Chaque êre possède n instinct de survie, et l'homme est un animal comme les autres. Ainsi, Alecto, Hazaëlle, Black , Jeena, Licia et Soren s'engagèrent à la suite de cet homme, si mystérieux soit-il.


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Bon, j'ai un peu beaucoup joué des personnages qui ne sont pas miens mais j'espère avoir un tant soit peu débloqué ce rpg.... Ce serait ête de l'abandonner si vite ^^'

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Voilà j'ai posté! =) Normalement avec ce que j'ai écrit vous devriez pouvoir réagir. A qui le tour?

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Bon voilà j'ai posté un bon gros pavé, libre à vous de le lire ou pas, j'étais en période de grand inspiration et comme je sais que d'ici là que les gens réponde à mes répliques, j'aurais perdu le fil, donc j'ai joué vos personnages, pas énormément mais quand même! Dîtes-moi si ça ne vous convient pas je peux toujours éditer(surtout Unionis si ça te dérange).
Voilà!=)
Allez un peu d'inspiration bon sang!!